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J'ai recensé tous les QCM (au programme) et j'ai mis les rép qui étaient ok sur le ggle doc
si y avait des doutes, je l'ai indiqué en correction
si vous trouvez une erreur, envoyez moi un MP (c'est Blanche) et je corrige !
have fun :)

Question 1

Quelle(s) est (sont) la (les) affirmation(s) fausse(s) ?

Les deux types de cristaux urinaires les plus communs chez le chien sont les struvites et les cystines.

La présence de cristaux de carbonate de calcium est anormale dans l’urine de cheval.

La présence de leucocyte à la cytologie urinaire démontre la présence d’une infection du tractus urinaire (ITU)

La présence de spermatozoïdes est pathologique à la cytologie urinaire chez le chien entier.

Question 2

Le prélèvement urinaire pour réalisation de l’ECBU doit être réalisé sur :

Tube violet

Tube vert

Tube bleu

Tube rouge

Question 3

Quelle est l’affirmation exacte ?

Après centrifugation, en cas d’hématurie apparente, si le surnageant reste rouge, on parle d’une hémoglobinurie ou d’une myoglobinurie

Après centrifugation, en cas d’hématurie apparente, si le surnageant reste rouge, on parle d’une hématurie.

Question 4

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

La prévalence de l’hypothyroïdie canine dans la population générale est de 5%.

La thyroïdite lymphocytaire est l’étiologie principale lors d’hypothyroïdie canine

L’atrophie idiopathique de la thyroïde est l’étiologie principale lors d’hypothyroïdie canine.

Les chiennes sont plus fréquemment atteintes d’hypothyroïdie.

Question 5

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont fausse(s) ?

Le suivi paraclinique du traitement de l’hypothyroïdie est basé sur le dosage de la T4 totale plasmatique

Le suivi paraclinique du traitement de l’hyperthyroïdie est basé sur le dosage de la TSH plasmatique

Le suivi paraclinique du traitement de l’hyperthyroïdie est basé sur le dosage de la T4 totale plasmatique

Le suivi paraclinique du traitement de l’hypothyroïdie est basé sur le dosage de la TSH plasmatique

Question 6

En cas de suspicion d’hypothyroïdie chez un chien, il est fortement recommandé d’associer :

Le dosage de la T4 libre plasmatique et de la TSH plasmatique.

Le dosage de la T4 totale plasmatique et de la TSH plasmatique

Le dosage de la T3 totale plasmatique et de la TSH plasmatique.

Le dosage de la T3 libre plasmatique et de la TSH plasmatique

Question 7

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont fausse(s) ?

Chez le chien, l’hyperthyroïdie est commune

Chez le chat, l’hyperthyroïdie est commune

L’âge moyen des hyperthyroïdiens (dans l’espèce la plus atteinte) est de 6 ans

L’hyper et l’hypothyroïdie chez les carnivores domestiques est principalement primaire.

Question 8

Chez les carnivores domestiques, une augmentation isolée des folates est en faveur :

d’une prolifération bactérienne jéjunale

d’une maldigestion proximale

d’une prolifération bactérienne iléale

d’une malabsorption distale

Question 9

Chez les carnivores domestiques, le dosage recommandé pour le diagnostic d’une insuffisance pancréatique exocrine est :

l’activité lipasique sanguine totale

cPLI

l’activité amylasique sanguine

TLI

Question 10

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

l’augmentation du dosage du cortisol de manière isolé est un bon marqueur d’hypercorticisme.

une imprégnation prolongée en cortisol déclenche la lactation chez la chienne.

une imprégnation prolongée en cortisol a un effet diabétogène

une imprégnation prolongée en cortisol diminue la synthèse des hormones thyroïdiennes

Question 11

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

L’hypercorticisme atteint plus l’espèce canine que féline.

L’hypercorticisme hypophysaire touche plutôt l’espèce canine de plus de 6 ans et de petites races

Un traitement au long cours à base de prédnisolone peut provoquer un hypercorticisme iatrogène.

L’hypercorticisme surrénalien touche plutôt des chiennes de plus de 6 ans et de grandes races.

Question 12

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

L’hypocorticisme primaire chez le chien est plus commun que l’hypercorticisme surrénalien.

La maladie d’Addison présente un aspect clinique facilement reconnaissable.

Hypocorticisme primaire est synonyme de maladie d’Addison.

La maladie d’Addison atteint plus les chiennes que les chiens

Question 13

Parmi les affirmations suivantes, la/lesquelles est/sont exacte(s) ?

le prélèvement sanguin doit être réalisé sur tube EDTA (violet) pour le test de stimulation à l’ACTH.

le cortisol sanguin doit être mesurée sur plasma citraté (bleu).

il existe un snap test pour le dosage du cortisol en médecine vétérinaire

le prélèvement d’urine doit être réalisé sur tube vert pour le rapport cortisol urinaire/ créatinine urinaire

Question 14

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

en cas d’hypercorticisme iatrogène, la synthèse de cortisol post-stimulation à l’ACTH est du même ordre de grandeur qu’en cas d’hypercorticisme

le test de stimulation à l’ACTH permet toujours de différencier hypercorticisme et animal sain.

l’injection de l’analogue de l’ACTH du test de stimulation à l’ACTH est à faire juste avant la première prise de sang.

le test de stimulation à l’ACTH ne permet pas de différencier l’origine hypophysaire ou surrénalienne d’un hypercorticisme

Question 15

En ce qui concerne le suivi thérapeutique des affections des surrénales, quelle(s) est/sont la/les affirmation(s) exacte(s) ?

l’analyse des résultats d’un test de freinage à la dexaméthasone dose faible s’effectue toujours en deux temps (d’abord à +8h puis à +4h).

un test de freinage à la dexaméthasone est plus chronophage qu’une stimulation à l’ACTH

un test de freinage à la dexaméthasone permet toujours de différencier l’origine hypophysaire ou surrénalienne d’un hypercorticisme.

l’analyse des résultats d’un test de freinage à la dexaméthasone dose faible s’effectue toujours en deux temps (d’abord à +4h puis à +8h).

Question 16

Parmi les affirmations suivantes, laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) ?

environ 80% des chiens atteints d’hypercorticisme présentent une anémie régénérative.

environ 90% des chiens atteints d’hypercorticisme présentent des ALAT (isolément) très augmentés.

environ 50% des chiens atteints d’hypercorticisme présentent une hyperlipémie

environ 70% des chiens atteints d’hypercorticisme présentent une azotémie marquée.

Question 17

Les maladies rénales chroniques : généralités (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

il s’agit de maladies fréquentes chez le chat.

l’expression de la maladie est tardive par rapport aux débuts des lésions

le traitement permet l’amélioration des lésions.

la symptomatologie est identique pour tous les animaux.

Question 18

Les maladies rénales chroniques : physiopathologie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

la maladie rénale chronique s’accompagne toujours d’une augmentation de la pression orthostatique.

la MRC s’accompagne d’une augmentation de la pression tubulaire néphrogénique.

le gradient cortico-médullaire est diminué.

la perte des récepteurs à l’ADH est responsable de la clinique

Question 19

Les maladies rénales chroniques : physiopathologie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

l’augmentation de l’urémie permet de restaurer le gradient cortico-urinaire.

le déficit d’absorption du bicarbonate entraine une acidose et des urines alcalines.

le néphron réabsorbe davantage de sodium

la perte fonctionnelle tubulaire entraîne une glucosurie.

Question 20

Les maladies rénales chroniques : physiopathologie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

une densité urinaire > 1,040 exclut une MRC

une densité urinaire < 1,030 chez un chien est diagnostique d’une MRC

une densité urinaire < 1,039 chez un chat est inappropriée.

la densité urinaire lors de MRC est < 1,030

Question 21

Les maladies rénales chroniques : physiopathologie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

une densité urinaire hyposthénurique est diagnostique de MRC

une densité urinaire entre 1.008 et 1.025 est fréquemment rencontrée lors d’une MRC

un RCPU positif traduit une lésion glomérulaire

une x de protéines urinaires sur des urines isosthénuriques est physiologique

Question 22

Les maladies rénales chroniques : physiopathologie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

L’insuffisance rénale aiguë évolue dans un contexte d’anémie normochrome normocytaire

L’hyperphosphatémie lors de MRC traduit une compensation rénale à l’hyperparathyroïdie

Un RCPU positif dans un contexte de MRC n’a pas d’incidence sur la fonction rénale.

La protéinurie lors de MRC invite à mettre un traitement à base d’IECA.

Question 23

Les maladies rénales : physiopathologie (cochez la /les proposition(s) juste(s)

Lors d’insuffisance pré-rénale la créatinémie augmente en premier

L’insuffisance rénale pré-rénale est la conséquence d’une destruction glomérulaire.

Lors d’insuffisance pré-rénale, c’est la pression de filtration qui est affectée

Lors d’insuffisance pré-rénale la réversibilité de l’altération rénale est bonne

Question 24

Approche diagnostique des déséquilibres P/Ca (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

Lors d’hyperparathyroïdie primaire, seul le calcium ionisé est augmenté, pas le calcium total sanguin.

L’hyperparathyroïdie primaire est une maladie de la perception de la calcémie ionisée.

L’hyperparathyroïdie primaire s’accompagne d’une hyperphosphatémie.

L’hyperparathyroïdie primaire entraine une hypercalcémie par augmentation de l’absorption intestinale par stimulation des récepteurs à PTH.

Question 25

Approche diagnostique des déséquilibres P/Ca (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

Le Ca total est dépendant de la concentration en protéines de l’échantillon.

Le néphron réabsorbe le Ca sans PTH.

Le Ca ionisé est plus précis comme dosage que le Ca total car il n’est pas influencé par des conditions pré-analytiques

La phosphatémie n’a pas d’incidence sur la Ca ionisé.

Question 26

Approche diagnostique des déséquilibres P/Ca (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

La production de calcitriol par le rein est dépendante de la PTH.

La production de calcitriol par le rein est dépendante de la phosphatémie

La diminution de la filtration rénale diminue les capacités du rein à synthétiser le calcitriol

L’activation de la vitamine D est exclusivement rénale.

Question 27

Approche diagnostique des déséquilibres P/Ca (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

La PTH a une action sur les ostéoclastes.

La PTH est très stable dans le plasma permettant son dosage facile

La sécrétion de PTH par les parathyroïdes est assujettie à la diminution de la calcémie ionisée et/ou de la phosphatémie.

La PTH assure la réabsorption de Ca et de P au niveau du néphron

Question 28

Approche diagnostique des déséquilibres P/Ca (cochez la /les proposition(s) juste(s)

La calcitonine ne permet pas de limiter l’hypercalcémie lors d’hyperparathyroïdisme.

L’hyperparathyroïdie nutritionnelle s’accompagne d’une hypercalcémie sévère.

L’hyperparathyroïdie secondaire rénale fait suite à l’absence de réponse du rein à la PTH

L’hyperparathyroïdie primaire est la cause la plus fréquente d’hypercalcémie.

Question 29

Approche diagnostique des déséquilibres de la glycémie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

La glucotoxicité s’exprime par des troubles ostéo-articulaires chez le chat

Les fructosamines permettent de différencier les deux types de diabète

Le diabète sucré du chat est réversible

L’hypercorticisme est un facteur prédisposant au diabète sucré.

Question 30

Approche diagnostique des déséquilibres de la glycémie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

Lors d’insulinome, l’hypoglycémie reste modérée et les fructosamines en permettent le diagnostic

Chez le chat, la maitrise du diabète n’impose pas l’utilisation d’insuline

Les métastases lors d’insulinome sont peu fréquentes chez le chien

L’hypoglycémie lors de lipidose hépatique est liée à un stress oxydant

Question 31

Approche diagnostique des déséquilibres de la glycémie (cochez la /les proposition(s) juste(s) :

la glucosurie accompagnant le diabète sucré doit être prise en charge rapidement pour limiter les lésions tubulaires.

l’hyperplasie mammaire chez la chienne peut être responsable de l’apparition d’un diabète sucré.

Chez le chien, le diabète sucré s’accompagne d’un foie de surcharge.

Le diabète acido-cétosique est une complication grave du diabète sucré

Question 32

Une insuffisance rénale obstructive entraine (cochez la /les proposition(s) juste(s)

Une acidose métabolique

une augmentation plus élevée de l’urée que la créatinine plasmatique

une hyperkaliémie

des urines alcalines

Question 33

Chat 7 ans présentant : glucose 6,1mM (normal), urée 23,6mM (augmentée), créatinine 209 micromM (augmentée), P 2mM (augmentée), Na 152mM (normal), K 3,2mM (diminué), Hb 8,7b/dL, Ht 25%, DU = 1,016, Prot : 3x, en évolution depuis 3 mois.

Un hyperaldostéronisme probable.

Une maladie rénale chronique débutante.

Une hyperparathyroïdie associée probable.

Une protéinurie significative.

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